Saint Thomas d’Aquin : l’intelligence au service de la foi

Les Dominicains de la province de Toulouse célèbrent jusqu’en 2025 le triple jubilé de la canonisation (1323), de la mort (1274) et de la naissance (1225) de saint Thomas d’Aquin. Trois centenaires : une belle invitation à redécouvrir la figure de sainteté et la pensée du Docteur des docteurs de l’Église universelle. Par Florence de Maistre.

Saint Thomas d'Aquin“Ces trois années jubilaires de la canonisation, de la mort et de la naissance de saint Thomas d’Aquin nous permettent de parler de lui, de le faire connaître dans notre monde sécularisé, déchristianisé. Son génie traverse les siècles : il est toujours actuel ! Nous continuons de le lire et de nous en inspirer. C’est un saint, un penseur, un frère dominicain. En nous mettant à son école, nous cherchons Dieu nous aussi !”, lance Fr. Philippe-Marie Margelidon, o.p., dominicain de la province de Toulouse, directeur de la Revue thomiste et président de l’association pour le Centenaire Thomas d’Aquin. Héritiers des lieux où saint Dominique lui-même fonda l’ordre des frères prêcheurs en 1216, les Toulousains accueillent dès 1368, après sa canonisation à Avignon le 18 juillet 1323 par Jean XXII, les reliques de saint Thomas d’Aquin au couvent des Jacobins au cœur de la ville rose. Bien qu’il n’y ait jamais séjourné de son vivant, il y est vénéré depuis près de sept siècles !

Un élève brillant, un maître rayonnant à travers les âges

Thomas naît en 1225, au château de Rocasseca près de Naples, dans la famille d’Aquino de la noblesse italienne. Son éducation est très tôt confiée à l’abbaye bénédictine du Mont-Cassin, comme c’était l’usage à l’époque, où il devient oblat. Alors que ses parents le voyaient déjà futur abbé bénédictin, avec la sécurité et les honneurs de cette carrière toute tracée, il choisit la prédication et cet ordre nouveau : les Dominicains. “Ce choix personnel, contre l’avis de sa famille, dit quelque chose de sa grande liberté intérieure, de la force de sa vocation. Il dit l’amour de la pauvreté et l’amour de la vérité, qui sont les deux caractéristiques de l’ordre des prêcheurs, dont la devise est Veritas”, partage Sr. Marie-David Weill, docteur en théologie et professeur au Studium Notre-Dame de Vie (Vaucluse).

L’exceptionnalité de sa sagesse théologique et son aura fait également venir à lui les grands de ce monde

Les frères encouragent Thomas à gravir les échelons de l’université. Il étudie à Paris et suit en particulier l’enseignement de saint Albert le Grand. Il devient sans difficulté bachelier biblique, puis bachelier sententiaire. Comme tout universitaire chrétien, il est d’abord chargé de commenter les Écritures, avant de se consacrer au livre des Sentences de Pierre Lombard, la référence médiévale en matière de théologie. La finesse et l’originalité de son interprétation interpellent. “Saint Thomas est dès le départ remarqué pour ses qualités religieuses et avec elles, mais cela ne fait qu’un, ses qualités intellectuelles. Il est écouté et consulté. Ses cours et ses commentaires sont édités, alors qu’il n’a pas 35 ans. Il se distingue par le nombre de déplacements effectués certes, mais surtout par le rayonnement qu’il a tout de suite eu, avec cette forme de précocité”, indique Fr. Philippe-Marie. À Naples, à Paris ou Rome, il s’occupe avec attention de ses étudiants. L’exceptionnalité de sa sagesse théologique et son aura fait également venir à lui les grands de ce monde : rois, princes, confrères théologiens et dominicains le consultent et sollicitent son avis. Alors que l’université voit l’avènement des religieux en son sein, les ordres mendiants y sont contestés. Frère Thomas défend la vie religieuse aux côtés de saint Bonaventure, franciscain, qu’il a connu à Paris. Travailleur infatigable, il laisse une œuvre monumentale et inachevée. “Il faut se rappeler qu’il n’étudiait pas seulement dans sa cellule. Saint Thomas était aussi un serviteur de l’Église. Il s’est sanctifié par le don de lui-même dans la théologie. Il est mort à 49 ans, en route vers le concile de Lyon où le pape l’avait appelé”, précise Sr. Marie-David. Dès sa mort en 1274, les Dominicains en font leur référence particulière. Avec sa canonisation en 1323, l’Église reconnaît également la grande sagesse théologique de saint Thomas d’Aquin, avant de l’élever au titre de docteur de l’Église en 1557, en plein concile de Trente. Son aura culmine en 1923 lorsque Pie XI lui attribue le titre unique de docteur commun universel de l’Église. Le neuvième docteur de l’Église est, aujourd’hui encore, la référence supérieure, la plus remarquable et emblématique parmi ses pairs.

Dieu, la Création et l’homme en question

Son défi ? Embrasser autant qu’il est possible tout le contenu de la foi chrétienne ! Son génie ? “Il est celui qui a réussi le plus harmonieusement la combinaison et le dialogue entre raison humaine et foi divine ou encore entre nature et grâce, autrement dit entre philosophie et théologie”, poursuit le frère dominicain. Homme de tradition, frère Thomas ne cherche ni l’originalité, ni à inventer une nouvelle doctrine. Il est un sage dans le sens où il est celui qui remet de l’ordre dans les idées, en commençant par le plus haut possible, c’est-à-dire à partir de Dieu tel qu’on peut le connaître : principe et fin, alpha et omega. Il propose une grande synthèse, un regard très large sur l’ensemble des connaissances humaines, crée des passerelles entre la philosophie et la théologie, mais aussi, grâce à sa lecture des pères de l’Église et des pères grecs, entre l’Orient et l’Occident. “La question au cœur de la démarche de saint Thomas est : qui est Dieu, qu’est-ce que Dieu ? À partir de là, il donne à la théologie catholique une armature, une structure philosophique, que l’on ne connaissait pas avant lui. Il rend la foi intelligible et si possible intelligente. Cette question est celle qui me touche le plus. Il lui rattache tout et relie ensemble la vie humaine, la physique, le sensible, la morale, la politique, la vie intellectuelle, etc.. De façon géniale, tout le reconduit à Dieu lui-même !”, s’exclame le théologien.

Le genre littéraire, l’aspect systématique et extrêmement organisé des œuvres de saint Thomas d’Aquin peut dérouter, voire agacer plus d’un lecteur ! “En même temps, cela fait partie de son génie. Le propre de la sagesse, c’est d’ordonner ! Saint Thomas lui-même indique que cette présentation évite de dérouter les débutants. En dépassant cette forme pour entrer dans l’ordre, on peut en percevoir toute la profondeur”, assure la professeure du Studium Notre-Dame de Vie. Il y a quelques semaines, un étudiant l’a d’ailleurs remerciée à l’issue de son cours de christologie “pour avoir profondément renouvelé son regard sur saint Thomas d’Aquin”. Aborder le saint patron des écoles et des universités comme l’apôtre de la vérité et en le regardant d’abord comme un maître spirituel, voilà l’un des enjeux à bien transmettre aujourd’hui. “Regardons sa démarche et cette dynamique de coopération entre la foi et l’intelligence ! Quel drame de réduire l’œuvre de saint Thomas à ses conclusions : on ratatine le génie de sa pensée ! C’est sa démarche qui est à donner en modèle aujourd’hui, pas ses conclusions ! Mettons-nous avec lui à l’école de l’intelligence de la Révélation et des pères de l’Église”, s’enthousiasme Sr. Marie-David, qui précise introduire parfois son cours par “la prière avant l’étude” attribuée à saint Thomas ou encore par une invocation de son nom, comme une manière de rappeler que l’œuvre étudiée n’est pas seulement celle d’un savant mais surtout celle d’un saint qui intercède pour tous. De souligner également : “ On voit son amitié avec le Christ transparaître dans sa théologie. Il s’efface devant le mystère présent et, même s’il reste très discret sur son expérience, quelque chose de sa personnalité, de sa sainteté, de son amour ardent pour le Christ transparaît dans sa théologie”.

Ainsi, lorsque saint Thomas s’interroge sur les raisons qui présentent saint Jean comme “le disciple que Jésus aimait”, il met en lumière trois qualités de l’évangéliste. Saint Jean est le plus aimé pour la perspicacité de son intelligence : c’est lui qui reconnaît la présence du Seigneur et parle du Verbe. La pureté de son cœur apparaît aussi : c’est le disciple qui repose sur la poitrine de Jésus lors de la dernière Cène, qui évoque la charité, la fraternité, parle de Dieu amour et lumière. Enfin, sa jeunesse est la troisième caractéristique, telle qu’elle est toujours mentionnée dans la tradition. “Ces qualités disent quelque chose de saint Thomas lui-même : un serviteur inlassable et un ami du Christ. Un théologien qui mûrit sa réflexion dans la prière devant le tabernacle. Un homme qui s’est consacré tout jeune à Dieu. Mais cette jeunesse tient davantage de l’attitude de l’âme, plutôt que de l’âge, c’est-à-dire de l’élan dans l’annonce de l’Évangile, explicite Sr. Marie-David.

Une théologie au service du mystère de Dieu

Un phare, une lumière dans le monde intellectuel européen chez les philosophes et les théologiens, Thomas d’Aquin est encore “cet esprit supérieur qui a la sainteté de ses idées et les idées de sa sainteté. Il y a une correspondance entre ce qu’il dit et ce qu’il vit”, révèle Fr. Philippe-Marie. Sr. Marie-David le formule également : “En réfléchissant à l’actualité de saint Thomas pour nous aujourd’hui, je suis frappée par le lien entre théologie et sainteté, car il est théologien à l’intérieur de sa sainteté et saint à l’intérieur de sa théologie !” Saint Thomas n’aborde pas sa discipline comme une science universitaire, mais avec l’intelligence mise au service de la connaissance et de l’amour du Christ, pour grandir dans l’intimité avec lui. Dès la première question de la Somme de théologie, il expose ce qu’est la doctrine sacrée : plus qu’une science, une sagesse ! “Elle est cette connaissance amoureuse, cette contemplation du mystère de Dieu. Parfois l’étude de la théologie perd de sa sève en devenant une sorte d’érudition. Or, elle n’est pas réservée aux spécialistes ! Tout croyant qui raisonne et qui prie est déjà théologien. Hans Urs von Balthasar [1905-1988] développe l’idée d’une théologie à genoux, cela illustre bien la sainteté de Thomas d’Aquin !”, sourit la théologienne. Elle reprend : “Il a mis en lumière la noblesse de l’intelligence humaine, capax Dei, capable de Dieu, de dire quelque chose de Dieu, capable de servir la foi.” Et pour approfondir, Sr. Marie-David invite encore à relire les magnifiques pages l’encyclique Foi et Raison (1998), dans laquelle saint Jean-Paul II rappelle la constante nouveauté de la pensée de saint Thomas d’Aquin, avec ses trois visages de la sagesse : philosophique, théologique et don de l’Esprit saint (n°43-44).

Une théologie pour tous les hommes

Disciples de saint Thomas, les Dominicains réactualisent sans cesse la recherche de leur aîné, en répondant à leur vocation de prédicateur : parler de Dieu, celui qui se donne, celui qui est la Vérité, et reconduire les hommes à la source ! “Bien entendu, nous tenons compte de ce qu’est devenu l’homme et la pensée humaine depuis le XIIIe siècle, mais nous faisons connaître la Sagesse avec les outils et le sens de la synthèse de saint Thomas d’Aquin”, explique Fr. Philippe-Marie. Prêcheurs, quels que soient les lieux où ils sont envoyés, quelles que soient la vie des personnes qu’ils rencontrent, ils annoncent la foi avec ce bagage thomiste et veulent la transmettre le plus largement possible. “Nous avons l’ambition de ne pas réserver saint Thomas à une élite. Nous pensons que sa sagesse est enseignable universellement, à toutes les étapes de la vie chrétienne”, relève le Dominicain. Qu’est-ce qu’être vertueux, par exemple ? Le maître d’Aquinas montre concrètement comment vivre en chrétien les grandes vertus morales et théologiques, avec cette manière qui lui est propre et que toute l’Église s’est appropriée. Le Catéchisme de l’Église catholique citant saint Thomas un grand nombre de fois. “Je suis rentré dans l’Ordre pour cette question de Dieu. J’ai commencé à découvrir saint Thomas au début de mes études et je n’ai jamais pu m’en détacher. Je veux passer ma vie à connaître Dieu pour mieux l’aimer et le transmettre aux autres”, confie Fr. Philippe-Marie.

Aussi grandes que soient ses œuvres, Thomas ne s’en est jamais satisfait ni glorifié, allant même jusqu’à comparer l’intégralité du travail de toute sa vie à une paille. “À la fin de sa vie, saint Thomas regarde ce qu’il a écrit, le développement de sa pensée systématique dans sa Somme et tous ses commentaires, mais l’homme de prière se rend compte que c’est dérisoire par rapport au mystère de Dieu. Il nous donne une belle leçon d’humilité ! Développons nos capacités, travaillons pour vivre et faire vivre les autres, mais n’oublions pas le plus important ! Le mystère transcendant et enveloppant de Dieu qui se donne et qui est toujours au-delà de nous : voilà ce qui doit nous illuminer et être notre quête”, ponctue Claire Rousseau, historienne d’art et membre de l’Institut d’Histoire de l’Ordre des prêcheurs (Rome). Elle insiste : “Il y a le génie du savant et sa part d’humanité, ses prières touchantes. Saint Thomas n’est pas qu’un intellectuel qui gratte du parchemin, il vit d’abord en relation avec le Christ et nous invite à faire de même.”

Des festivités qui se déploient jusqu’en 2025

Des manifestations à Toulouse et dans toute la France

Colloques et conférences, manifestations musicales et artistiques, publications, célébrations liturgiques : les festivités préparées pour célébrer le triple jubilé du docteur commun universel se déploient jusqu’en 2025. Outre les rencontres savantes pour faire progresser la connaissance du grand théologien, l’exposition inédite Saint Thomas d’Aquin, une sagesse offerte à tous a permis de faire connaître au grand public toulousain, dont de nombreux groupes scolaires, la vie et l’œuvre du saint. Elle est également présentée du 10 juillet au 1er octobre 2023 au musée du Hiéron à Paray-le-Monial.

DominicainsPlus de 80 œuvres, dont certaines inédites sont à découvrir au fil du parcours qui se déploie autour de l’entrée de Thomas d’Aquin dans l’ordre des Prêcheurs et sa formation, le travail du philosophe et théologien, la dévotion et la production du docteur eucharistique, ainsi que la sainteté d’une vie donnée à Dieu. “Nous avons la chance de montrer un très beau polyptyque italien de 1335. Le panneau central où figure saint Thomas est beaucoup plus grand que les deux latéraux avec saint Dominique et saint Pierre. L’artiste a souhaité honorer le nouveau saint”, indique Claire Rousseau. Une estampe le montre plus loin en dialogue avec des savants juifs. Ce n’est pas la disputatio, mais bien la prière du soir de saint Thomas qui fait œuvre de conversion ! Le Saint-Sacrement de Guillaume Gabron (XVIIe s.) permet entre autres d’évoquer l’importance de l’eucharistie chez saint Thomas, qui est l’auteur de l’office et la messe chantée de la Fête-Dieu, une commande papale, toujours utilisée aujourd’hui lors de la fête du Saint-Sacrement. Parmi les nombreux trésors exposés, une section inédite rend compte du concours de dessins organisé pour l’occasion auprès des enfants et des adolescents. Pour les premiers, il s’agissait d’une création libre autour du thème du soleil, emblème de saint Thomas relatif à la science et à la sagesse divine. Les plus grands pouvaient enluminer dans le style médiéval et renaissance une phrase de leur choix. “Nous avons été surpris par le succès de ce concours et avons reçu plus de 800 dessins de Toulouse, de toute la France et même au-delà ! Ils sont accrochés sur un immense panneau entre deux sections du parcours. Les visiteurs sont eux aussi étonnés par la qualité des dessins”, se réjouit l’historienne d’art. La dernière section présente le périple des reliques du saint dominicain et la réalisation du nouveau reliquaire par l’artiste Augustin Frison-Roche à l’occasion de ce triple centenaire.

Chaque 28 janvier, les Dominicains célèbrent l’arrivée de saint Thomas aux Jacobins. Cette année, dans le cadre de l’ouverture du jubilé, les précieux ossements de son crâne ont été sortis du coffre en bois où ils reposaient sous l’autel de l’église de l’ancien couvent dominicain de la ville rose. Ils sont désormais placés dans un nouvel écrin qui permet d’apercevoir la tête savante du grand saint. “Je ne me croyais pas très sensible à la vénération des reliques. Mais la célébration de la translation de celles de saint Thomas d’Aquin, présidée par Mgr Jean-Louis Bruguès, o.p., [archevêque émérite d’Angers] a été très émouvante. C’est une expérience rare, historique, de se retrouver vraiment face au grand docteur de l’Église, rapporte Éric de Saint Salvy, bénévole au service des centenaires saint Thomas d’Aquin. Une émotion partagée par toutes les personnes présentes. “Lorsque nous avons mis saint Thomas dans le reliquaire, j’ai été très ému. Il y a là, devant nous, avec nous, le crâne de saint Thomas d’Aquin, symbole de sa pensée. J’ai été très marqué et j’ai tout de suite pensé : il n’est pas uniquement réservé aux Dominicains, il doit aller partout”, confie Fr. Philippe-Marie. Dans sa nouvelle châsse, la relique est effectivement prête à voyager dans toute la France pour aller à la rencontre de tous ceux qui veulent se confier à lui. En chaque lieu, couvent de religieux, paroisse, école catholique, etc., la présence de saint Thomas d’Aquin sera l’occasion d’une introduction à sa pensée. Fr. Philippe-Marie Margelidon invite largement : “Les gens peuvent venir simplement vénérer comme ils le souhaitent. On rencontre souvent des personnes qui ne fréquentent pas l’Église, mais qui viennent voir un saint, demandent des grâces, prient devant le reliquaire. J’y compte beaucoup, c’est très important. Saint Thomas d’Aquin est pour tout le monde !

À lire

  • Les plus belles prières de saint Thomas d’Aquin, Philippe-Marie Margelidon, Éd. Artège (janv. 2023), 136 p., 12,90 euros. “Je prie avec cette quarantaine de prières tout le temps. Pour les rendre accessibles à tous, je les ai traduites en latin et en français. Je les utilise telles qu’elles sont chargées d’histoire et de piété. Je me mets dans les pas de ceux qui m’ont précédé depuis le XIVe siècle jusqu’à aujourd’hui”, indique l’auteur.
  • De quelques vertus oubliées, Philippe-Marie Margelidon, Éd. du Cerf (mai 2023), 320 p., 22 euros. “La religion, la chasteté et la pénitence sont revisitées au regard de l’actualité. Un autre ouvrage à venir présentera les vertus méconnues, comme la détente”, précise l’auteur.
  • Saint Thomas d’Aquin : une sagesse offerte à tous, Claire Rousseau (contributions), Éd. du net (mars 2023), 160 p., 28 euros. Le catalogue de l’exposition du VIIe centenaire de la canonisation de saint Thomas d’Aquin.

Toute la programmation des centenaires Thomas d’Aquin : https://thomas-aquinas-jubileum.org

La province dominicaine de Toulouse :https://toulouse.dominicains.com

Le Studium Notre-Dame de Vie : https://www.studiumndv.fr/fr/

ça peut aussi vous intéresser

En 2025, nous sommes en année liturgique C