Soins et spiritualité à l’hôpital
Diverses études mettent en lumière la dimension spirituelle du patient. Celle-ci est prise en compte dans les textes règlementaires qui font mention des besoins spirituels, notamment – mais pas seulement- dans la prise en charge palliative. Dans une approche globale de la personne, les soins palliatifs prennent en compte la souffrance psychologique, sociale et spirituelle de la personne malade et de sa famille. Cet accompagnement spirituel des patients et de leurs proches trouve sa place dans le parcours de soins et en partenariat avec les soignants dans le respect des croyances et des convictions de chacun.
Droit des patients
La loi française promeut la liberté religieuse des patients hospitalisés. C’est pourquoi les établissements de soins sont garants de cette liberté. La liberté religieuse et le droit de pratiquer son culte sont affirmés dans les chartes des patients en établissement de santé tant publics que privés. A l’hôpital public, les chartes des droits du patient hospitalisé fait partie des affichages obligatoires.
- Charte de la personne hospitalisée
- Charte de la laïcité en cliniques et hôpitaux privés
- Charte des droits et libertés de la personne âgée en situation de handicap ou de dépendance
- Code de la Santé public (art. L3211-3)
Place de la spiritualité dans les soins
La question se pose des modalités de l’accompagnement des besoins spirituels et religieux des patients dans leur parcours de soins. Les aumônier(e)s sont les interlocuteurs privilégiés des patients, de leurs proches et des équipes soignantes pour répondre aux demandes spirituelles et religieuses des patients.
Que la personne malade ou âgée se trouve à domicile ou en établissement, elle peut toujours demander à être visitée par un membre de l’Église en contactant le service de la Pastorale de la Santé de son diocèse.
- Livre « Soin, laïcité, religion et spiritualité, intégrer le spirituel et le religieux dans le soin », D. Maroudy, M. Grassin, P. Wanquet-Thibault, Ed. Lamarre,
- Religion et Soin – Costantino Fiore – Avril 2024
- La place du Bouddhisme dans la relation de soin – Luc Heiza Charles – Avril 2024
- L’aumônerie musulmane à l’hôpital – Mohammed Krabch – Avril 2024
Accompagnement spirituel en fin de vie
Les soins palliatifs intègrent la prise en compte de la dimension spirituelle du patient. En écrivant des directives anticipées, chacun peut exprimer la manière dont il souhaite être pris en charge en fin de vie, préciser sa religion ou ses croyances et comment il souhaite être accompagné sur le plan spirituel et religieux. Le patient doit aussi nommer une personne de confiance qui serait son porte-parole s’il ne pouvait plus s’exprimer. Il est bon de faire connaître à son entourage et à cette personne de confiance en particulier les souhaits que nous avons en matière d’accompagnement spirituel et religieux pour notre fin de vie.
Que la personne en fin de vie se trouve à domicile ou en établissement, elle peut toujours demander à être visitée par un membre de l’Église catholique en contactant le service de la Pastorale de la Santé de son diocèse.
- Brochure « Soins palliatifs et accompagnement »
- Loi du 22 avril 2005 relative aux droits des malades et à la fin de vie (dite loi « Léonetti »)
- Loi Claeys-Léonetti de 2016
- La personne de confiance
- Les directives anticipées
- Guide des directives anticipées proposées pour une personne de confession catholique
- Directives anticipées proposées pour une personne de confession catholique
Diverses études mettent en lumière la dimension spirituelle du patient. Celle-ci est prise en compte dans les textes règlementaires qui font mention des besoins spirituels, notamment – mais pas seulement- dans la prise en charge palliative. Dans une approche globale de la personne, les soins palliatifs prennent en compte la souffrance psychologique, sociale et spirituelle de la personne malade et de sa famille. Cet accompagnement spirituel des patients et de leurs proches trouve sa place dans le parcours de soins et en partenariat avec les soignants dans le respect des croyances et des convictions de chacun.
Droit des patients
La loi française promeut la liberté religieuse des patients hospitalisés. C’est pourquoi les établissements de soins sont garants de cette liberté. La liberté religieuse et le droit de pratiquer son culte sont affirmés dans les chartes des patients en établissement de santé tant publics que privés. A l’hôpital public, les chartes des droits du patient hospitalisé fait partie des affichages obligatoires.
- Charte de la personne hospitalisée
- Charte de la laïcité en cliniques et hôpitaux privés
- Charte des droits et libertés de la personne âgée en situation de handicap ou de dépendance
- Code de la Santé public (art. L3211-3)
Place de la spiritualité dans les soins
La question se pose des modalités de l’accompagnement des besoins spirituels et religieux des patients dans leur parcours de soins. Les aumônier(e)s sont les interlocuteurs privilégiés des patients, de leurs proches et des équipes soignantes pour répondre aux demandes spirituelles et religieuses des patients.
Que la personne malade ou âgée se trouve à domicile ou en établissement, elle peut toujours demander à être visitée par un membre de l’Église en contactant le service de la Pastorale de la Santé de son diocèse.
- Livre « Soin, laïcité, religion et spiritualité, intégrer le spirituel et le religieux dans le soin », D. Maroudy, M. Grassin, P. Wanquet-Thibault, Ed. Lamarre,
- Religion et Soin – Costantino Fiore – Avril 2024
- La place du Bouddhisme dans la relation de soin au malade – Luc Heiza Charles – Avril 2024
- L’aumônerie musulmane à l’hôpital – Mohammed Krabch – Avril 2024
Accompagnement spirituel en fin de vie
Les soins palliatifs intègrent la prise en compte de la dimension spirituelle du patient. En écrivant des directives anticipées, chacun peut exprimer la manière dont il souhaite être pris en charge en fin de vie, préciser sa religion ou ses croyances et comment il souhaite être accompagné sur le plan spirituel et religieux. Le patient doit aussi nommer une personne de confiance qui serait son porte-parole s’il ne pouvait plus s’exprimer. Il est bon de faire connaître à son entourage et à cette personne de confiance en particulier les souhaits que nous avons en matière d’accompagnement spirituel et religieux pour notre fin de vie.
Que la personne en fin de vie se trouve à domicile ou en établissement, elle peut toujours demander à être visitée par un membre de l’Église catholique en contactant le service de la Pastorale de la Santé de son diocèse.
- Brochure « Soins palliatifs et accompagnement »
- Loi du 22 avril 2005 relative aux droits des malades et à la fin de vie (dite loi « Léonetti »)
- Loi Claeys-Léonetti de 2016
- La personne de confiance
- Les directives anticipées
- Guide des directives anticipées proposées pour une personne de confession catholique
- Directives anticipées proposées pour une personne de confession catholique
Diverses études mettent en lumière la dimension spirituelle du patient. Celle-ci est prise en compte dans les textes règlementaires qui font mention des besoins spirituels, notamment – mais pas seulement- dans la prise en charge palliative. Dans une approche globale de la personne, les soins palliatifs prennent en compte la souffrance psychologique, sociale et spirituelle de la personne malade et de sa famille. Cet accompagnement spirituel des patients et de leurs proches trouve sa place dans le parcours de soins et en partenariat avec les soignants dans le respect des croyances et des convictions de chacun.
Droit des patients
La loi française promeut la liberté religieuse des patients hospitalisés. C’est pourquoi les établissements de soins sont garants de cette liberté. La liberté religieuse et le droit de pratiquer son culte sont affirmés dans les chartes des patients en établissement de santé tant publics que privés. A l’hôpital public, les chartes des droits du patient hospitalisé fait partie des affichages obligatoires.
- Charte de la personne hospitalisée
- Charte de la laïcité en cliniques et hôpitaux privés
- Charte des droits et libertés de la personne âgée en situation de handicap ou de dépendance
- Code de la Santé public (art. L3211-3)
Place de la spiritualité dans les soins
La question se pose des modalités de l’accompagnement des besoins spirituels et religieux des patients dans leur parcours de soins. Les aumônier(e)s sont les interlocuteurs privilégiés des patients, de leurs proches et des équipes soignantes pour répondre aux demandes spirituelles et religieuses des patients.
Que la personne malade ou âgée se trouve à domicile ou en établissement, elle peut toujours demander à être visitée par un membre de l’Église en contactant le service de la Pastorale de la Santé de son diocèse.
- Livre « Soin, laïcité, religion et spiritualité, intégrer le spirituel et le religieux dans le soin », D. Maroudy, M. Grassin, P. Wanquet-Thibault, Ed. Lamarre,
- Religion et Soin – Costantino Fiore – Avril 2024
- La place du Bouddhisme dans la relation de soin au malade – Luc Heiza Charles – Avril 2024
- L’aumônerie musulmane à l’hôpital – Mohammed Krabch – Avril 2024
Accompagnement spirituel en fin de vie
Les soins palliatifs intègrent la prise en compte de la dimension spirituelle du patient. En écrivant des directives anticipées, chacun peut exprimer la manière dont il souhaite être pris en charge en fin de vie, préciser sa religion ou ses croyances et comment il souhaite être accompagné sur le plan spirituel et religieux. Le patient doit aussi nommer une personne de confiance qui serait son porte-parole s’il ne pouvait plus s’exprimer. Il est bon de faire connaître à son entourage et à cette personne de confiance en particulier les souhaits que nous avons en matière d’accompagnement spirituel et religieux pour notre fin de vie.
Que la personne en fin de vie se trouve à domicile ou en établissement, elle peut toujours demander à être visitée par un membre de l’Église catholique en contactant le service de la Pastorale de la Santé de son diocèse.
- Brochure « Soins palliatifs et accompagnement »
- Loi du 22 avril 2005 relative aux droits des malades et à la fin de vie (dite loi « Léonetti »)
- Loi Claeys-Léonetti de 2016
- La personne de confiance
- Les directives anticipées
- Guide des directives anticipées proposées pour une personne de confession catholique
- Directives anticipées proposées pour une personne de confession catholique
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Je suis hospitalisé et je souhaite la visite d’une personne mandatée par l’Eglise
Une visite est toujours possible. S’adresser d’abord au personnel soignant pour savoir s’il existe un service d’aumônerie ou des bénévoles mandatés par l’Eglise catholique.
Etre visité par un ministre de son culte fait partie des droits du patient hospitalisé, selon la Constitution, la loi 1905, le Code de Santé publique… Votre demande sera bien accueillie par le personnel soignant.
S’il n’y avait pas de visiteurs mandaté par l’Eglise pour assurer une présence à l’hôpital, contacter le diocèse et demander des renseignements au service diocésain « Pastorale de la Santé ».
Je suis à domicile ou en EHPAD et je souhaite être visité
Une visite est toujours possible. S’adresser d’abord au personnel soignant pour savoir s’il existe un service d’aumônerie ou des bénévoles mandatés par l’Eglise catholique.
Etre visité par un ministre de son culte fait partie des droits du patient hospitalisé, selon la Constitution, la loi 1905, le Code de Santé publique… Votre demande sera bien accueillie par le personnel soignant.
S’il n’y avait pas de visiteurs mandaté par l’Eglise pour assurer une présence à l’hôpital, contacter le diocèse et demander des renseignements au service diocésain « Pastorale de la Santé ».