Les Saints, au jour le jour

Le saint du jour est l’un des saints choisi parmi ceux proposés par l’Église. Chaque jour, l’Église honore plusieurs saints et bienheureux : ceux du calendrier romain (sanctoral romain), ceux des calendriers diocésains et ceux du calendrier des églises orientales (synaxaire).

Tous les Saints du jour

  • Sainte Marthe -

    Mémoire de sainte Marthe, qui reçut le Seigneur Jésus dans sa maison de Béthanie, non loin de Jérusalem, et après la mort de son frère Lazare, dit à Jésus: « Tu es le Christ, le Fils de Dieu, celui qui vient dans le monde ».

  • St Pierre Chrysologue -

    Mémoire de saint Pierre, surnommé Chrysologue (‘Parole d’or’), évêque de Ravenne et docteur de l’Église. Doté du nom de l’Apôtre Pierre, il accomplit le même ministère, si bien qu’il ramena des foules dans le filet de la doctrine céleste et qu’il les nourrit de la douceur de la parole de Dieu. Il mourut vers 450.

  • St Ignace de Loyola -

    Après une carrière militaire, Ignace se convertit et découvre sa vocation propre : le service de Dieu parmi les hommes. Il fonde la « Compagnie de Jésus » en 1534 avec quelques amis

  • St Alphonse de Liguori -

    De famille napolitaine noble, Alphonse était promis à un brillant avenir, du moins son père en avait-il décidé ainsi. L’enfant est doué. A seize ans, il est docteur en droit civil et ecclésiastique.

  • St Pierre Julien Eymard -

    Pierre-Julien Eymard, prêtre, d’abord diocésain, puis membre de la Société de Marie, fut un propagateur merveilleux du culte du mystère eucharistique, ce qui le conduisit à fonder deux nouvelles Congrégations, celle des Prêtres, et celle des Servantes du Saint-Sacrement pour vénérer et diffuser la piété envers le sacrement de l’Eucharistie. Il mourut, en 1868, à La Mure, près de Grenoble où il était né.

  • Saint Nicodème -

    Grâce à Nocodème et à son ami Joseph d’Arimathie, le corps du Seigneur ne sera pas jeté dans la fosse commune des malfaiteurs et, pour l’embaumer, ils achètent ensemble cent livres de myrrhe et d’aloès, en l’attente de la résurrection trois jours plus tard.

  • St Jean-Marie Vianney -

    Mémoire de saint Jean-Marie Vianney, prêtre. Curé de la paroisse d’Ars, au diocèse de Belley, pendant plus de quarante ans, jusqu’à sa mort en 1859, il accomplit son ministère d’une manière admirable par sa prédication, sa prière continue et son exemple de pénitence. Chaque jour, il catéchisait enfants et adultes, réconciliait les pénitents, et une telle charité, puisée dans la sainte Eucharistie comme à sa source, resplendissait en lui qu’on venait de loin rechercher ses conseils, et qu’il conduisit à Dieu, avec sagesse, un grand nombre de personnes.

  • Saint Jean de Chozeba -

    Après son service militaire, en 1936, Jean de Chozeba s’installa au monastère de Saint-Sabas en Terre Sainte, où vivaient alors ensemble des moines grecs et des moines roumains. Secourable avec les blessés de guerre au point d’en tomber malade, il fut capturé par les anglais et s’installa au désert non loin de Chozeba après la guerre, dans une grotte perchée d’où les Arabes tentèrent de le chasser.

  • Saint Hormisdas -

    Hormisdas, diacre et émissaire du pape Symmaque avant de lui succéder et de se consacrer aux relations avec les grands sièges patriarcaux d’Antioche et d’Alexandrie. Après la mort de l’empereur Anastase II, il obtiendra de son successeur la restauration de la communion avec Constantinople. En Occident, il affirme son autorité en Espagne et en Gaule.

  • Saint Gaétan -

    Contemporain de Martin Luther, il fut de ceux qui, au temps de la Réforme et bien avant le concile de Trente, travaillèrent à préserver l’Italie du protestantisme. Pendant 13 ans, il fut secrétaire au Vatican et mena une vie fastueuse avant de renoncer à sa charge, donner son héritage aux pauvres et soigner les incurables. Il fonda avec son ami Jean-Pierre Carafa, le futur pape Paul IV, un institut de prêtres qui mèneraient, comme lui, une vie pauvre et austère, les Théatins.

  • Saint Dominique -

    Chanoine régulier d’Osma en Vieille-Castille Dominique de Guzman accompagne son évêque Diègue en voyage et c’est en traversant le midi de la France que tous deux sont frappés par les ravages de l’hérésie des cathares. Ils obtiennent du pape Innocent III la mission de parcourir, avec quelques compagnons, les régions concernées et d’y prêcher l’Evangile par la parole et par l’exemple. La pauvreté évangélique et l’entrain joyeux caractérisent ces prédicateurs. Dominique réunit ses premiers compagnons dans un couvent de Toulouse dans le même souci de radicale pauvreté. Le pape Honorius III approuve en 1216 son œuvre qui devient l’Ordre des Frères prêcheurs.

  • Ste Thérèse-Bénédicte de la Croix -

    Thérèse-Bénédicte de la Croix s’appelait Edith Stein. D’origine juive, elle se convertit au catholicisme et devint carmélite avant d’être déportée et de mourir à Auschwitz

  • Saint Laurent -

    Diacre auprès du pape saint Sixte II, Laurent était le gardien des biens de l’Eglise lorsqu’en 257, l’empereur Valérien prend un édit de persécution interdisant le culte chrétien. il est arrêté en même temps que le pape et les autres diacres , mais est épargné dans l’espoir qu’il va livrer les trésors de l’Eglise. Il rassemble alors les pauvres, les infirmes, les boiteux, les aveugles : « Voilà les trésors de l’Eglise. » Il est condamné à être brûlé vif sur le gril.

  • Ste Claire d’Assise -

    Première des pauvres Dames de l’Ordre des Mineurs, elle suivit saint François d’Assise et mena au couvent de Saint-Damien une vie très austère, mais riche d’œuvres de charité et de piété. Aimant par-dessus tout la pauvreté, elle n’accepta jamais de s’en écarter, pas même dans l’extrême indigence ou dans la maladie. Elle mourut à Assise en 1253.

  • Ste Jeanne de Chantal -

    Elle avait été mariée au baron de Chantal et lui donna six enfants qu’elle éleva avec sollicitude. Après la mort de son mari, sous la direction de saint François de Sales, elle entra avec bonheur dans la voie de la perfection et accomplit des œuvres de charité, pour les pauvres surtout et les malades. Elle fonda avec lui l’Ordre de la Visitation, qu’elle dirigea avec sagesse, et mourut à Moulins, le 13 décembre 1641.