Soins palliatifs
Evangile de la Vie, lettre encyclique de Jean-Paul II, 1995, n.65
« Nous apportons notre plus ferme soutien et nos encouragements les plus sincères à toux ceux qui développent actuellement les «Soins Palliatifs». Par ce terme, nous entendons les méthodes de soin et de traitement de la douleur et des autres sources d’inconfort (…). Nous nous réjouissons de ce que les Pouvoirs publics français aient encouragé le développement de telles méthodes de soin. Nous jugeons qu’un tel effort doit être poursuivi, non seulement pour apaiser des peurs présentes chez nos contemporains, mais aussi parce que tout homme qui souffre invite à une compassion active et efficace. Il reste beaucoup à faire dans notre pays, notamment en ce qui concerne la formation des membres des professions de santé, pour que tous les malades en fin de vie reçoivent des soins appropriés. »
Respecter l’homme proche de sa mort, déclaration du Conseil permanent de la Conférence des évêques de France, 23 septembre 1991
« Pour nous, la sollicitude due à nos frères et soeurs gravement malades ou même agonisants, « en phase avancée ou terminale d’une affection grave et incurable » selon les termes de la loi, exige de s’employer à porter remède à leurs souffrances. Tel est l’objectif majeur des soins palliatifs tels qu’ils sont officiellement définis. Nous ne pouvons donc que nous réjouir de ce que la loi invite à les développer dans tous les hôpitaux et les établissements médico-sociaux. »
Déclaration commune juive-catholique sur « le soin des malades en fin de vie », 26 mars 2007, n.3.