Qui accueille le pape en Afrique ?
Au Cameroun,
Le pape est invité par la Conférence épiscopale nationale du Cameroun et il répond, également, à une invitation du président Paul Biya. C’est le 26 octobre 2008 que le pape a confirmé les deux pays visités. Déjà, la coopération entre le Cameroun et le Saint Siège s’était renforcée en 2008. Le Cameroun a nommé un premier ambassadeur au Vatican le 25 janvier 2008, M. Antoine Zanga. Celui-ci a présenté, le 16 juin 2008, ses lettres de créances au Saint Père. Comme le discours du pape à l’ambassadeur visait également les autorités du Cameroun sur des sujets comme la lutte contre la corruption, la pauvreté, la paix, la sécurité. Le pape a parlé aussi très directement des assassinats non élucidés au Cameroun de Mgr Yves Plumey (défunt évêque Ngaoundéré), du Père Jésuite Englebert Mveng, du Frère Clarétain Anton Probst. Ce discours a réduit les espoirs de ceux qui espéraient une visite du Pape au Cameroun. De plus, quelques mois plus tôt, en février, le Cameroun avait connu des « émeutes de la faim » et les réactions des autorités de plaidaient pas en faveur de Yaoundé. Le diocèse de Yaoundé connaît une situation financière dramatique, une gestion désastreuse a augmenté son endettement, et aujourd’hui, de nombreux salaires sont impayés. Les autres diocèses du Cameroun ne sont pas dans une telle situation. Néanmoins, c’est l’État du Cameroun qui assurera une grande partie des frais de cette visite que le Saint-Siège a souhaité modeste et simple. Le Vatican prendra à sa charge une partie des frais, en particulier les réceptions et d’hébergement à la nonciature.
Le pape est invité par la Conférence épiscopale nationale du Cameroun et il répond, également, à une invitation du président Paul Biya. C’est le 26 octobre 2008 que le pape a confirmé les deux pays visités. Déjà, la coopération entre le Cameroun et le Saint Siège s’était renforcée en 2008. Le Cameroun a nommé un premier ambassadeur au Vatican le 25 janvier 2008, M. Antoine Zanga. Celui-ci a présenté, le 16 juin 2008, ses lettres de créances au Saint Père. Comme le discours du pape à l’ambassadeur visait également les autorités du Cameroun sur des sujets comme la lutte contre la corruption, la pauvreté, la paix, la sécurité. Le pape a parlé aussi très directement des assassinats non élucidés au Cameroun de Mgr Yves Plumey (défunt évêque Ngaoundéré), du Père Jésuite Englebert Mveng, du Frère Clarétain Anton Probst. Ce discours a réduit les espoirs de ceux qui espéraient une visite du Pape au Cameroun. De plus, quelques mois plus tôt, en février, le Cameroun avait connu des « émeutes de la faim » et les réactions des autorités de plaidaient pas en faveur de Yaoundé. Le diocèse de Yaoundé connaît une situation financière dramatique, une gestion désastreuse a augmenté son endettement, et aujourd’hui, de nombreux salaires sont impayés. Les autres diocèses du Cameroun ne sont pas dans une telle situation. Néanmoins, c’est l’État du Cameroun qui assurera une grande partie des frais de cette visite que le Saint-Siège a souhaité modeste et simple. Le Vatican prendra à sa charge une partie des frais, en particulier les réceptions et d’hébergement à la nonciature.
En Angola,
Le pape est invité par la conférence épiscopale d’Angola et de Sao Tomé (CEAST) et répond à une invitation du Président José Eduardo dos Santos. Ce voyage est à la fois une visite pastorale et officielle.
Au Cameroun, le pape est invité par la Conférence épiscopale nationale du Cameroun et il répond, également, à une invitation du président Paul Biya. En Angola, Le pape est invité par la conférence épiscopale d’Angola et de Sao Tomé (CEAST) et répond à une invitation du Président José Eduardo dos Santos.