Contre les idées reçues sur l’embryon humain
La recherche sur l’embryon humain pourrait permettre des progrès médicaux majeurs. « Là où elle est autorisée, la recherche sur les embryons humains piétine depuis des années » écrit-il, car les scientifiques se heurtent à des rejets immunitaires et des développements de tumeurs.
La recherche sur l’embryon serait utile pour tester l’efficacité de futurs médicaments. Il salue le travail du Prix Nobel de Médecine 2012, Shinya Yamanaka, et son travail sur les cellules reprogrammées (iPS) qui « apparaissent aujourd’hui aussi efficaces ».
Il regrette qu’une disposition de la loi supprime le devoir actuellement en vigueur de favoriser des recherches alternatives et conformes à l’éthique à partir de cellules souches, « par exemple, issues de l’organisme adulte ou du sang de cordon ombilical ».
Le Père Brice de Malherbe invite chacun à s’interroger sur les techniques de fécondation artificielle qui ont généré, en France, plus de 170.000 embryons surnuméraires, aujourd’hui congelés.
Initiative citoyenne européenne, animée en France par les Associations Familiales Catholiques (AFC), Alliance VITA, la Fondation Jérôme Lejeune et le Comité Protestant évangélique pour la Dignité Humaine (CPDH), la pétition Un de nous a déjà recueilli plus de 66 000 signatures en France. Pour l’ensemble des 28 pays européens, 752 000 signatures sont recensées, pour un objectif d’un million.