« Le scoutisme agit comme un ferment positif sur la société » | Enquête de Jérôme Fourquet de l’IFOP sur l’impact social du scoutisme
Une étude réalisée par Jérôme Fourquet/IFOP à la demande du RASSO (association des aînés et anciens Guides et Scouts d’Europe) a mesuré pour la première fois l’utilité sociale du scoutisme. Les résultats de cette étude ont été présentés le 19 septembre 2024 aux mouvements du scoutisme français.
Un triple constat s’impose à la lecture de cette étude :
- Les anciens scouts font preuve d’un niveau d’implication civique et associative bien supérieur à celui du grand public (engagement civique, bénévolat, conscience des grands sujets environnementaux). 87% des anciens scouts sont engagés dans une association pour seulement 33% du grand public.
2. Les anciens scouts témoignent d’un meilleur niveau de bien-être et de santé mentale que le grand public. Ils situent leur niveau de bien-être à 7,9/10. C’est 6,3/10 pour la moyenne des Français. Un niveau de bien-être expliqué par une vie sociale et un mode de vie largement inspirés par leur expérience scoute.
3. Le scoutisme est un atout dans la vie professionnelle non seulement pour les anciens scouts eux-mêmes mais in fine pour leurs collègues et leurs entreprises : 93% des anciens scouts déclarent que leur expérience scoute constitue un atout dans leur vie professionnelle.
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