Emploi d’analgésiques
« La suppression de la douleur et de la conscience par le moyen des narcotiques (…) est permise (…) s’il n’existe pas d’autres moyens et si, dans les circonstances données, cela n’empêche pas l’accomplissement d’autres devoirs religieux et moraux (…) ». Dans ce cas en effet, il est clair que la mort n’est en aucune façon voulue ou recherchée, même si le risque en est raisonnablement couru ; on a simplement l’intention de calmer efficacement la douleur en employant dans ce but les analgésiques dont la science médicale dispose. »
Déclaration sur l’euthanasie, Congrégation pour la Doctrine de la Foi, 5 mai 1980, partie III.