Le document, complémentaire de celui sur « La foi chrétienne en Dieu dans le monde de l’Antiquité », donne un autre aspect de la session doctrinale des évêques de France dont le thème était le dialogue interreligieux. Or, ce dialogue, pour aussi ouvert et fraternel qu’il soit, ne peut se réaliser, entre les différentes traditions spirituelles et culturelles concernées, que sur des bases solides, théologiquement situées et précisées.

L’héritage du concile Vatican II – dont la déclaration Nostra aetate a eu l’impact que l’on sait – ne peut occulter ni les étapes d’un débat ouvert il y a près d’un siècle, ni les raisons pour lesquelles l’Église catholique est aujourd’hui, avec ses exigences théologiques légitimes, engagée dans le dialogue interreligieux.
Nous publions ici l’intervention du père JEAN-MARC AVELINE « de plus en plus convaincu que si l’Église catholique a exhorté les fidèles à s’engager « avec prudence et charité » dans la rencontre interreligieuse, c’est avant tout parce qu’elle confesse que l’initiative de ce « dialogue de salut » vient de Dieu, qui veut nouer avec l’humanité une histoire d’alliance ».

22 pages, 4,50 €

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