Les jeunes franciliens interpellent les têtes de listes en Ile-de-France
Samedi 20 février, les candidats aux élections régionales ont répondu à l’invitation des jeunes solidaires du Secours Catholique au forum de leurs talents, place Saint-Sulpice. Témoignage de Servane de Bouard, responsable communication de la délégation parisienne.
Le soleil était au rendez-vous ce samedi 20 février, place St-Sulpice, ainsi qu’un grand nombre de candidats qui ont répondu présents au Secours Catholique. Ils étaient invités à venir découvrir les talents des jeunes franciliens. Jean-Paul Huchon (PS), Valérie Pécresse (UMP), Cécile Duflot (Europe Ecologie), Alain Dolium (Modem, Marie-George Buffet (Front de gauche), et leurs co-listiers ont pu être interpellés par les personnes accompagnées par l’association en Ile-de-France.
Logement, transport, développement durable, formation professionnelle, emploi, toutes les compétences de la région ont été abordées lors d’une douzaine de débats. « Que comptez-vous faire pour inciter les employeurs à prendre des étudiants en alternance ? », « Comment réussir à étudier sérieusement en étant obligé de travailler le soir et week-end ? »… autant de questions concrètes auxquelles les candidats ont eu à répondre.
Logement, transport, développement durable, formation professionnelle, emploi, toutes les compétences de la région ont été abordées lors d’une douzaine de débats. « Que comptez-vous faire pour inciter les employeurs à prendre des étudiants en alternance ? », « Comment réussir à étudier sérieusement en étant obligé de travailler le soir et week-end ? »… autant de questions concrètes auxquelles les candidats ont eu à répondre.
Autour des débats, une dizaine de stands tenus par des associations partenaires : CCFD, Mission de France, Comité Solidaire pour les droits, etc. ont contribués à des discussions avec les candidats mais aussi à l’ambiance familiale et conviviale de cette après-midi.
Objectif atteint pour le Secours Catholique : Cette rencontre a permis de donner la parole à ceux qui ne l’ont pas et de sensibiliser les futurs élus aux difficultés quotidiennes des personnes que l’association rencontre en Ile-de-France.