Sœur Marie Simon-Pierre se confie à KTO
« Quand j’ai appris que j’étais atteinte de la maladie de Parkinson, dit-elle, j’ai bien sûr pensé à Jean-Paul II. Il a été pour moi une force pour avancer et continuer la route ». Vers la fin de la maladie du Saint-Père, il devenait difficile pour la Petite sœur de le voir à la télévision, car il « renvoyait l’image de ce que j’aurai à affronter ».
A la mort du pape, le 2 avril 2005, elle suit les événements de Rome en direct à la télévision, avec toute sa communauté. Quelques jours plus tard, la congrégation décide une neuvaine à Jean-Paul II pour demander la guérison de Sœur Marie Simon-Pierre. Le 2 juin, celle-ci constate sa complète guérison, attestée depuis par le corps médical et considérée comme « inexplicable en l’état actuel des connaissances scientifiques ».
Comme Jean-Paul II, elle est proche des plus petits
Sœur Marie Simon Pierre raconte sa guérison miraculeuse
Sœur Marie Simon Pierre explique pourquoi elle a été « choisie »